Vous pouvez télécharger la pétition
ICI pour que la famille Akzamov reste à Angers (Maine et Loire en France républicaine où les enfants en maternelle n'existent pas selon Jean-Claude Vacher).
Au passage,l'état français parle du Kirghizistan
SUR CETTE PAGEplusieurs articles parus + le reportage de France 3 Nantes
ICIL'Humanité du 27/12/2005 à lire
LAArticle du Monde 27/12/05
Dépêche AFP
"Un Kirghize menacé d'expulsion pourrait passer Noël en famille (association)
Un homme de 28 ans originaire du Kirghizstan et en situation irrégulière, qui devait être expulsé de France samedi, pourrait finalement retrouver dimanche sa famille installée en France et passer Noël avec elle, a-t-on appris auprès d'une association qui le défend.
Ramil Aksamov, interpellé lors d'un contrôle d'identité le 23 novembre, a été placé au centre de rétention du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne). Il devait être expulsé samedi sur le vol Air France 5499 pour Bishkek, la capitale du Kirghizstan, mais "son ordre d'embarquement a été annulé" par les autorités, selon une source aéroportuaire.
"La mobilisation autour de son cas a poussé la préfecture d'Angers, où il s'est installé, à ne pas susciter d'échos trop défavorables au moment de Noël", a déclaré à l'AFP Jean-Michel Delarbre, membre du Réseau éducation sans frontières (RESF), l'association qui soutient M. Aksamov.
"Le responsable du centre de rétention nous a affirmé que M. Aksamov sortirait dimanche à 15H00", a indiqué M. Delarbre.
Une vingtaine de militants se sont rassemblés samedi matin à l'aéroport de Roissy pour inciter les passagers qui devaient prendre le même vol que M. Aksamov à s'opposer à son expulsion.
Ramil Aksamov est arrivé en France il y a cinq ans avec sa femme, également en situation irrégulière parce que sa vie était menacée dans son pays, selon RESF. Il est père de trois enfants nés en France et dont les deux aînés sont scolarisés dans une école maternelle d'Angers, toujours selon la même source.
Une première tentative d'expulsion avait été programmée le 10 décembre, selon Frédérique Gardien, parent d'élève de l'école maternelle où sont scolarisés les deux enfants, âgés de deux et quatre ans. "Tant qu'il n'y aura pas de décision, on reste mobilisé", a ajouté samedi Mme Gardien."
Article du Journal du Dimanche édition nationale du 26/12/2005